Festival Fuerza : femmes pour la paix
Du 04 au 08 juin, le festival Fuerza : femmes pour la paix est dédié à la célébration des voix féminines à travers les arts. Il met en lumière des œuvres engagées qui abordent des enjeux politiques, sociaux et écologiques, créant ainsi un espace d’expression radical et novateur.
Le festival propose une programmation variée, avec des performances, projections, concerts, théâtre, conférences, ateliers, et autres formats expérimentaux. Chaque spectacle vise à bouleverser et à ouvrir une réflexion sur des thèmes essentiels tels que la justice sociale, la crise climatique, et la paix.
Encore une fois j’ai envie de taper quelqu’un : Antigone
Pitouch Company
Le 06 et 07 juin 2025 à 20h00
Ce spectacle immersif et participatif d’une durée d’1 heure est librement inspiré d’Antigone de Sophocle. La pièce Encore une fois j’ai envie de taper quelqu’un : Antigone pose son regard sur le mythe de l’Antigone de Sophocle et insiste sur son actualisation dans la société contemporaine. Avec un regard acerbe et furieux, la pièce suscite une réflexion sur les liens familiaux, les modèles de comportement et la banalité, imposés par les rapports de pouvoir et d’assujettissement. Antigone est une ode à la vie et à la mort qui se rebelle également contre l’espace scénique conventionnel, brisant le quatrième mur et invitant le public à participer à travers un langage interdisciplinaire qui défie les limites de la représentation et de la présence. Encore une fois j’ai envie de taper quelqu’un : Antigone est le premier volet d’un triptyque composé de Penthésilée et d’Echo, la nymphe, qui complexifient leurs questions initiales en les situant face au monde d’aujourd’hui.
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Piké kako konsèr
bal carnavalesque : masqué, démasqué
Compagnie Difé Kako (Paris)
Le 08 juin à 19h00
Un orchestre lance quelques notes de musique et le bal participatif commence…
Au son d’un rythme caribéen, joyeux et entraînant, les danseurs de la compagnie Dife Kako vont à la rencontre des publics et les invitent à suivre leurs pas. À la fois spectateurs et acteurs, ils sont amenés à apprendre des danses issues des carnavals du monde, accompagnés par des musiciens, développant un répertoire de composition original et créolisé. En effet, la musique comme les danses sont nourries du répertoire des Touloulou (bal guyanais) comme des bals masqués de Venise. Les musiques et les danses seront également nourries de la bande de Dunkerque, du vidé ou du déboulé des Antilles. Des gestes simples qui se transforment en une chorégraphie collective au fur et à mesure du bal Bakannal.